samedi

NOUVEAU SITE INTERNET
http://www.aureliesement.com


H-11940
Installation vidéo d'Aurélie Sement et David Jouin produite par l'association Engrenage avec le soutien de la Ville de Rouen, de la DRAC et de la Région Haute-Normandie.


jeudi

Exposition dans les grandes galeries de l'ESADHaR à Rouen 

Vernissage le 28 juin à partir de 17h30
Du 28 au 3 octobre 2012
Commissariat d'exposition : Stéphane Carrayrou




Au milieu du silence


Du 3 au 11 mars 2012
Installation vidéo
6 écrans vidéo sur la façade de la Médiathèque de Guyancourt (78280)




vendredi

Derrière les panneaux il y a des hommes, 2010


Diptyque vidéo,


6 min, en boucle


Vidéo présentée dans le cadre du Salon Jeune création 2010, Centquatre, Paris.



«Entre documentaire et vidéo plasticienne, Aurélie Sement révèle au spectateur les coulisses de notre société. En référence au cinéaste et photographe néerlandais Johan van der Keuken, elle souligne la mécanique des formes, des couleurs et des gestes, à travers le montage du salon Access & Paradox. Dans un plan fixe, monteurs, cimaises… sont les acteurs d’un film aux scènes chorégraphiques et répétitives. Sans repérage, avec la fraicheur d’un regard sur la réalité, l’artiste ne filme pas l’homme et ses sentiments. La caméra s’efface pour ne laisser, dans la plus grande objectivité possible, que la géométrie de l’espace et de ce moment. » Romain Salomon.


lundi

Diagnostic


mardi

PRISME, 2010, vidéo



MODÈLE-RÉDUIT


CORDES, 2011



DRILL, 2010

mercredi

EOLIENNES, 2008, 6'55''



Ici, l'envers du décor devient un monument. Les éoliennes ont hérité des mécaniques industrielles le rythme régulier, monotone du mouvement hypnotique de leurs pales.
Mais l'échelle gigantesque change tout. Sur le chantier de montage, la présence de l'homme devient à peine perceptible, c'est l'impeccable géométrie des différents composants qui retient toute l'attention, comme si nous assistions à l'édification d'une sculpture géante qui investit le paysage.

mardi

MARCHE DE RUNGIS, 2008, 3'40''




Une activité incessante, répétitive, des itinéraires balisées, à la géométrie implacable, voila ce que nous montre de prime abord cette vidéo tournée au marché de Rungis.
Pourtant, dans l'enchaînement des passages et dans l'alternance des couleurs des chariots élévateurs, apparaît une certaine liberté de mouvement qui va imposer son propre rythme.
Comme dans une représentation théâtrale, la mise en scène va prendre le pas sur le décor qui en continuel changement laisse place à cette chorégraphie.

dimanche

BLANCHISSERIE, 2006, 7'




Ici, l'utilisation du plan fixe permet de prendre de la distance par rapport à l'action représentée et de renforcer le côté obsessionnel de l'activité. La prise de vue, soit lointaine, soit en gros plan, évacue toute référence à une échelle humaine. Lorsqu'ils apparaissent, les personnages, ne sont plus au centre de la composition. Ils se manifestent, non par leur position ou leur individualité, mais par leur mouvement qui ne se différencie pas des machines et des objets.

samedi

TRI- SELECTIF, 2006, 4'15''





Ces images vidéo agissent comme une balise.
Elles balisent notre regard et notre corps tout entier. Elles nous placent là, ici et maintenant devant et dans cet espace.
Loin de tout processus narratif, ces images ne sont plus que de la vision en œuvre, en acte.
Elles constituent une façon de voir dégagée de toute réflexivité mais aussi de toute positivité.

jeudi

PROJECTION, 2006, 6'


Cette vidéo représente l'intérieur d'une cabine de projection d'un cinéma. Ici la bande filmique en constant mouvement circulaire et le gros plan sur le projecteur nous renvoient une impression d'irréalité, et nous piège dans une mécanique obsessionnelle. cette vidéo, projetée à 1.90m du sol, à dimension réduite, évoque la fenêtre de projection d'une salle de cinéma.

mercredi

COURSE MOTONAUTIQUE, 2008, 2'50''



Vidéo en boucle d'une course sportive ou le regard ici, se pose sur ses coulisses. Les Réparations de moteur et les va-et-vient de bateaux se transforment en une chorégraphie de formes colorées.

mardi

ZONE INDUSTRIELLE, 2006, 2'35''


Soumettant le paysage à sa géométrie et imposant son rythme, par l'échappement des fumées et le passage des trains, le site industriel devient une installation à part entière. Il capte toute l'attention du spectateur, occultant la représentation traditionnelle d'un site pittoresque (église, colline). La vidéo transforme la perception de la scène, transférant les valeurs patrimoniales et esthétiques au parc industriel.