Diagnostic, résidence et exposition en collaboration avec David Jouin,la Ruche, centre hospitalier du Bois Petit, Sotteville-lès-Rouen.
Nouvelle arrivage ², Espace d'art contemporain Camille-Lambert, Juvisy/Orges.
2009,
Festival Iesi Pe Strada, installations vidéo, Iasi, Roumanie. Media Art biennale Wro 09, Wroclaw, Pologne. Festival Bandits-Mages, Bourges.
Ville hors-champs, Auditorium du Musée des beaux Arts, Rouen.
2008,
Mulhouse 008, salon jeune création, Mulhouse. Dekor, avec Malachi Farrel, Les Schliesser et Clemens Von Wedemeyer, Galerie du Bellay, Mont St Aignan. Fenêtre sur rue, Grande Galerie de l’Aître st Maclou, ERBA, Rouen.
2007,
Vitrine vidéo, sur une invitation de Jason Karaindros, Médiathèque Rueil‐Malmaison. Exposition de jeunes artistes chinois et français d’art vidéo et nouveaux média, The Chinese European Art Center, Xiamen Chine.
2005 - 2006,
À partir de maintenant, Grande Galerie de l’Aître St Maclou, ERBA, Rouen.
Art Rythme Ethique, Galerie du Bellay, Mont St Aignan. Dépaysement, Jardin des plantes Sotteville‐lès‐Rouen, ERBA. Présentation de vidéo pour le festival, Les Pluriels, Mont St Aignan. À New York, Petite Galerie de l’Aître St Maclou, ERBA, Rouen.
2011, bourse d'aide à l'installation, DRAC Haute Normandie. 2008, bourse d'aide individuelle à la création, DRAC Haute-Normandie
FORMATION
2006, DNSEP, ERBA, Rouen.
Félicitations du Jury
A propos de mon travail
Mon travail vidéo exprime la fascination qu'exerce sur moi l'"envers du décor". Il fait prendre conscience de l'importance et de la diversité de ces espaces à accès restreint, qui révèlent les coulisses d'une société de consommation et échappent aux représentations imagées. Ces endroits abritent des activités dévalorisées, répétitives qui laissent une sensation d'irréalité dans leur dissimulation au monde extérieur.
L'envers du décor n'est pas filmé en référence à une vision globale à portée documentaire , mais pour lui-même, comme une architecture autonome, avec sa qualité plastique et graphique, sa propre mise en perspective de volumes.
Le décalage, la mise à distance ne résultent pas d'un point de vue critique mais fondent une esthétique, correspondant à la logique géométrique des installations industrielles filmés en plans fixes.
A la rigueur de ce décor, correspond la répétition des actions représentées. Le mouvement des machines et de leurs auxiliaires humains produit un spectacle chorégraphique qui ne renvoie qu'à lui-même. Il n'y a plus aucune progression, aucune finalité, il n'est plus possible de s'échapper du temps cyclique, recyclé de la boucle vidéo.